Un viticulteur bio condamné pour avoir refusé de traiter ses vignes.
Malgré une énorme mobilisation (près de 500 000 pétitions), la Procureure a insisté sur sa culpabilité. Elle a requis 1000 euros d’amende, dont la moitié avec sursis, avec inscription à son casier judiciaire.
Le jugement sera rendu le 7 avril.
Nul ne sait aujourd’hui de quel côté pencheront les juges. Mais une condamnation, même symbolique, serait un terrible désaveu envoyé au monde de l’agriculture bio, et une très mauvaise nouvelle pour l’environnement.
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